"Artemisia, une plante pour éradiquer le paludisme " sort chez Actes Sud

“Artemisia, une plante pour éradiquer le paludisme “ de Lucile CORNET-VERNET en collaboration avec Laurence COUQUIAUD édité chez Actes Sud – Domaine du possible sort en librairie le 3 octobre 2018

Communiqué de presse d’Actes Sud

Le paludisme (malaria), véhiculé par le moustique anophèle, tue annuellement plus de cinq cent mille personnes, dont 70 % d’enfants. C’est, avec la tuberculose et le sida, l’une des maladies les plus mortifères. La moitié de l’humanité vit en zone impactée par ce fléau et deux cents à cinq cents millions de personnes sont infectées par an. L’Afrique subsaharienne dénombre la plus grande majorité des cas et 90 % de la mortalité.

En plus de semer la mort et d’infliger aux survivants des retards neurologiques irréversibles, le paludisme a des conséquences socio-économiques lourdes, qui entraînent le ralentissement de la croissance et du développement de nombreux pays. Les médicaments antipaludéens, à l’origine de problématiques effets secondaires et trop chers pour la plupart des malades, développent des mécanismes de résistance chez le parasite.

Pourtant une plante est connue depuis des millénaires en Chine pour soigner ce mal : l’Artemisia annua.

Prise en tisane, elle guérit à 98 % et interrompt le cycle infernal de la transmission. Mais cette plante était, il y a peu, encore inconnue en Afrique, hormis par quelques tradipraticiens.

Le Dr Lucile Cornet-Vernet en entend parler un jour de 2012. Devant l’inertie, voire l’hostilité, des instances publiques de santé pour cette solution simple et à portée de tous, elle est saisie par un sentiment d’indignation et décide alors de faire de l’étude et de la dissémination de l’Artemisia le combat de sa vie.

Incroyable aventure médicale que ce combat d’une David en jupon contre le Goliath de la pharmacie et des organismes mondiaux, l’ignorance, le scepticisme, les interdictions et les réglementations.

Si le chemin est long et ardu jusqu’à l’élimination totale du paludisme, l’efficacité curative de ce remède naturel est la meilleure arme de propagande. La nouvelle se répand par le biais des patients guéris, et le Dr Lucile Cornet-Vernet essaime sans relâche des Maisons de l’Artemisia à travers tout le continent africain et bientôt en Asie et en Amérique du Sud.

Elle est en passe de prouver que le pouvoir des plantes est le plus fort pour vaincre cette maladie.

Le jeudi 22 janvier, une séance de dédicace a été organisée dans un restaurant Cojean à Paris, partenaire de La Maison de l’Artemisia au travers de sa Fondation Aimer nourrir donner