Journée mondiale de lutte contre le paludisme
Le 25 avril est la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. Une occasion de rappeler l’impact de cette maladie et que des solutions locales existent !
Quelques chiffres :
- 3 milliards de personnes vivent en zone impaludée, soit la moitié de la population.
- 247 millions de cas en 2021 selon l’OMS (95 % des cas en Afrique).
- 619 000 décès en 2021, 80 % des décès sont des enfants africains de moins de 5 ans.
- Apparition de résistances aux insecticides et aux médicaments.
- Cause 30 % de l’absentéisme à l’école et au travail.
- Coût réel estimé à 1,3 point de croissance pour l’Afrique chaque année.
Le thème de la Journée d’aujourd’hui est : il est temps d’atteindre l’objectif “zéro paludisme”.
INVESTIR, INNOVER, METTRE EN OEUVRE
C’est ce que fait la Maison de l’Artemisia depuis 10 ans !
INVESTIR dans la recherche sur l’Artemisia,
INNOVER avec la tisane d’Artemisia, solution locale, peu chère et accessible à tous
METTRE EN OEUVRE avec la création des Maisons de l’Artemisia.
La Maison de l’Artemisia est un réseau mondial (130 Maisons de l’Artemisia dans 28 pays) à vocation humanitaire permettant une meilleure connaissance des plantes médicinales (notamment Artemisia annua et afra) pour lutter contre le paludisme et autres maladies en favorisant le développement micro-économique par la création de filières locales et durables.
En France, l’association humanitaire (Loi 1901), créée fin 2012 par Lucile Cornet-Vernet, s’est donné trois missions :
- Accélérer les recherches sur la tisane d’Artemisia, traitement ancestral contre le paludisme
- Encadrer et augmenter la production raisonnée d’Artemisia dans les pays impaludés via des Maisons de l’Artemisia, pôles de compétences locaux.
- Animer la communauté mondiale de personnes engagées et d’acteurs de changement intéressée par l’Artemisia.
Toute la semaine de nombreuses conférences, émissions radio et TV, sensibilisations, distributions de tisane… vont avoir lieu dans tout le réseau des 130 Maisons de l’Artemisia.
Continuer à faire connaître cette solution locale, peu chère et accessible au plus grand nombre afin d’atteindre l’objectif Zéro paludisme.
