– Elles sont les premières victimes de cette maladie : selon l’OMS les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans sont particulièrement vulnérables.
– Elles sont les principales dispensatrices de soins quand un membre de leur famille tombe malade avec toutes les conséquences sociétales et économiques que cela implique.
– Elles sont ainsi en première ligne pour le développement de solutions locales, efficaces et durables au sein de leurs communautés pour diminuer l’incidence du paludisme.